Ils en ont très probablement conscience. Chet Baker (1929-1988) est de ceux-là.
Comme beaucoup de musiciens de jazz de cette époque là (Charlie Parker, Miles Davis...) il a connu très tôt la drogue.
A sa mort, à moins de 60 ans, elle ne l'avait jamais vraiment quitté depuis ses années de jeunesse, en le marquant profondément.
3 commentaires:
Hello Anna ,
De bon matin , avant que tout arrive !!! j'aime beaucoup ce moment de grâce .........
Oui, souvent les artistes ont tellement à dire ,à s'exprimer ,à partager , en fait ils sont seuls et toutes sortes de "béquilles " les aident
la mort ne l'a jamais quitté c'est vrai dites -vous Chet Baker aussi
Un grand regret, c'est d'avoir raté le documentaire "Let's get lost" ressorti sur les écrans l'an dernier. Bah ! je me console avec la BO du film... et là, c'est du pur bonheur !
* Effectivement Arlette, beaucoup d'artistes usent de "béquilles" pour faire face à un trop plein de maux/mots que la pratique de leur art n'arrive pas toujours à canaliser.
Chet ce fût la drogue ou plutôt les drogues car semble t il il recourait à des mélanges assez dévastateurs.
Alors oui, la mort via la drogue ne l'a jamais quitté jusqu'au moment où elle a l'a définivement emporté.
* Le DVD est sorti Malausen.
Ma fille aînée qui était allée voir cet été avec son père le film le lui a offert à Noël... ou à son anniversaire, je ne sais plus (sourire) car pour lui c'est le même jour.
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