54 livres ont été lus en 2011, dont 25 BD ou mangas qui sont de fait "sur-représentés". Mais une BD ou un manga c'est, avec une vitesse de croisière de 40 pages/heure, l'affaire de une heure voire une heure trente de lecture. Un roman, même court, nécessite beaucoup plus de temps. Et je ne parle pas de la relecture de chacun des "pavés" qui narrent les aventures d'Eragon et de sa dragonne Saphira (plus de 700 pages chacun) avant la sortie du 4ème et dernier volume.
Dans la catégorie BD et assimilés, quelques titres font partie de séries anciennes comme "les carnets d'Orient" ou "magasin général". Mais l'année 2011 a été l'occasion de découvertes comme les 4 volumes de "Indian Dreams" mais aussi et surtout d'auteur(e)s tels que Kaoru Mori une jeune mangaka japonaise dont les histoires de mariées d'Asie centrale sont fort bien dessinées. Ou encore de Philippe Jarbinet dont le trait et le travail à l'aquarelle, de plus en plus achevés, accompagnent des histoires poignantes.
Et puis il y a eu les autres livres.
Des polars (6) avec des valeurs sures comme P.D. James, Hening Mankel, ou moins connues comme Claude Izner.
Des témoignages, plus ou moins romancés, dont certains ont fait forte impression. Je pense notamment à Philippe Labro qui explique comment il a été confronté à une dépression ou a Tahar Ben Jelloun qui raconte ce que furent les dernières années de la vie de sa mère atteinte de la maladie d'Alzheimer.
Et pour finir, ce qu'on appelle un "beau livre", le recueil d'estampes de Kawase HASUI. Le genre de livre qu'on aime reprendre pour s'y plonger une fois encore, hors du temps. Ce qui d'une certaine manière n'est pas étonnant, le titre du livre n'est il pas "le Japon éternel"?
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