Il veut tourner à gauche mais butte sur un parking, clos par les habituels grillages et où il n'y a aucune place pour stationner. Alors, un peu en catastrophe, il reprend la route... pour se retrouver face à plusieurs files de voitures qui l'obligent à aller complètement à droite.
Désormais, c'est une piscine construite en hauteur que nous longeons. Une piscine dont les bassins extérieurs sont vides, comme si on était en hiver... mais ils ressemblent davantage aux "baignoires" des jardins de famille d'autrefois où tournoyaient deux ou trois poissons rouges à la belle saison qu'à de véritables bassins pour baigneurs.
Et puis miracle des rêves, le père de mes enfants disparaît, la nuit semble tombée tandis que , toujours en voiture, je m'approche d'un mur dans lequel un tunnel complètement noir permet d'aller à... Fécamp!
Ma première idée est: "Non ce n'est pas une bonne idée car pour longer les falaises par la plage de galets du bas, il faut être certain qu'on aura le temps de revenir avant la marée haute. Ce n'est pas le cas. De plus je déteste rouler de nuit quand il pleut."
La seconde: "Ce n'est pas grave, je vais revenir à Rennes en prenant la route nationale ou la vieille départementale qui relient Dinan à Rennes."
Alors que dans le rêve je sens à mes côtés la présence du plus jeune de mes enfants, ma dernière pensée avant de me réveiller sera la suivante : "Elle lira les panneaux indicateurs ou au pire on téléphonera à l'une de mes soeurs qui fait régulièrement le trajet Dinan/Rennes".
Et le rêve c'est arrêté là!... Et l'insomnie a commencé car si je voyais fort bien à quoi renvoyaient le trajet en voiture, la piscine à sec, les deux manières de relier Dinan à Rennes... j'étais beaucoup plus perplexe sur la signification du tunnel et de la référence à Fécamp.
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