Petit rappel pour les non habitués à l'univers de la série XIII: la série écrite par le duo Vance + Van Hamme est désormais achevée. Les volumes qui paraissent désormais sont le fruit du travail d'autres scénaristes et dessinateurs. Ils se rattachent soit à un autre cycle où XIII essaie de retrouver des bribes de souvenirs, soit à une série d'albums intitulés "Mystery" et qui sont consacrés au passé de certains protagonistes de XIII.
Ainsi après les "méchants" qui cherchaient à éliminer XIII ("la mangouste" et "Irina") et la "gentille" qui l'aide ("Jones"), c'est à un autre allié de XIII que se sont attachés Boucq (au dessin) et Alcante (au scénario). Et c'est une bonne pioche! Meilleure à mon goût que le précédent opus.
Ainsi après les "méchants" qui cherchaient à éliminer XIII ("la mangouste" et "Irina") et la "gentille" qui l'aide ("Jones"), c'est à un autre allié de XIII que se sont attachés Boucq (au dessin) et Alcante (au scénario). Et c'est une bonne pioche! Meilleure à mon goût que le précédent opus.
Tout tient en peu de phrases:
- le dessin, c'est du pur Boucq avec l'esprit de Vance, notamment dans la palette graphique
- le scénario... Même si personne sur le net n'a encore jusqu'à présent fait le rapprochement, s'agissant du passé d'Almos, j'ose écrire que l'histoire inventée par Alcante fait penser à celles inventées par John Le Carré. Dans les livres de cet auteur, à un moment ou un autre, où on ne sait plus dans quel camp est le héros. Il en est de même ici et ce n'est que tout à la fin que l'on comprend pourquoi certains détails étaient en réalité très importants, ce qui donne envie de relire illico la bande dessinée.
Du coup ça m'a redonné très envie de relire certains Boucq et de chercher les autres "one shot" ou séries dont Didier Alcante est le scénariste
- le dessin, c'est du pur Boucq avec l'esprit de Vance, notamment dans la palette graphique
- le scénario... Même si personne sur le net n'a encore jusqu'à présent fait le rapprochement, s'agissant du passé d'Almos, j'ose écrire que l'histoire inventée par Alcante fait penser à celles inventées par John Le Carré. Dans les livres de cet auteur, à un moment ou un autre, où on ne sait plus dans quel camp est le héros. Il en est de même ici et ce n'est que tout à la fin que l'on comprend pourquoi certains détails étaient en réalité très importants, ce qui donne envie de relire illico la bande dessinée.
Du coup ça m'a redonné très envie de relire certains Boucq et de chercher les autres "one shot" ou séries dont Didier Alcante est le scénariste
Un point faible dans cet "épisode": l'entretien final entre Giordino et Almos. Sachant la manière dont ils se sont piégés et fait piéger l'un et l'autre, une telle discussion avec de tels "aveux" notamment de la part d'Almos, (ancien) agent du Mossad, n'est pas concevable... sauf à vouloir s'assurer que les lecteurs ont bien compris que eux aussi avaient été manipulés.
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