mercredi 18 janvier 2012

"les femmes qui lisent sont de plus en plus dangereuses" par Laure Adler et Stefan Bollmann

Le père Noël a fait cette année une seconde tournée, un peu tardive, le temps qu'il trouve cet ouvrage, une sorte de suite du précédent des mêmes auteurs et qui s'intitulait " Les femmes qui lisent sont dangereuses" et que j'avais bien aimé.

Je n'ai pas encore eu le temps de vraiment le lire, juste le temps de le feuilleter en repérant ça et là quelques tableaux issus de nombreuses pinacothèques où je n'irai probablement jamais, d'où l'intérêt du présent ouvrage.
Juste eu le temps aussi de lire l'introduction* écrite par Laure Adler et d'y trouver ceci:

"Lire, c'est disparaître.
(...)
Lire, c'est éteindre le bruit des autres pour tenter d'attendre sa propre mélodie.
(...)
Lire, c'est dégager le terrain, faire table rase, retrouver l'innocence. Lire, c'est ne plus avoir peur - des autres mais encore plus de soi.
Lire, c'est se mettre en retrait du monde - pour mieux pouvoir y rentrer quan cela nous chante. (...) Lire, c'est effectivement se mettre en danger"

* En fait, non, j'ai aussi lu, avec peine, la moitié de l'introduction écrite par Stefan Bollmann avant de caler. Comme pour le précédent ouvrage, je pense que je la lirai après avoir consulté la totalité de l'ouvrage et peut-être qu'alors... Mais j'ai quelques craintes que semblent confirmer le peu de références trouvées sur le net quant à cet ouvrage, contrairement à celui auquel se réfère le titre.

2 commentaires:

cailloublanc a dit…

Hum Hum! Vous me donnez envie d'aller le voir de plus près... je ne savais même pas qu'il y avait cette seconde fournée! Merci!!

@nn@ L. a dit…

Pour être franche Cailloublanc, j'ai commencé à le lire ce livre, du moins j'ai arrêté l'introduction de Stefan Bollmann pour me concentrer sur ses commentaires de tableaux et je ne retrouve pas la magie du 1er volume. Et pour le moment il me laisse plutôt sur ma faim